Si vous le souhaitez, vous pouvez, après l’inhumation du cercueil, installer un monument funéraire qui se compose, en général, de quatres parties : la semelle, le soubassement, la pierre tombale et la stèle. Néanmoins, il faudra tenir compte des contraintes et spécificités locales telles que les règles de la commune en particulier, l’état des sols, par exemple. Vous pourrez choisir la couleur et la matière car il existe un grand nombre de modèles que les marbriers sauront vous proposer. N’hésitez pas à demander conseils à la mairie du lieu de l’inhumation.

Bien entendu, c’est un coût en plus à prévoir : il faut prendre en compte l’achat du monument ainsi que la pose par des professionnels. Evidemment, certaines matières, certaines formes, parfois même certaines couleurs, ont un prix plus élevé que les autres. Vous aurez un peu de temps pour prévoir le financement de ce monument dédié à rendre hommage à votre proche défunt, car la terre a besoin de deux à six mois pour se tasser de manière uniforme. C’est seulement à partir de ce moment-là qu’il est possible de faire une construction à cet endroit.

Avoir un endroit où se recueillir et honorer la mémoire d’un proche qui nous a quitté est d’une grande aide dans le travail de deuil, pour la plupart des gens. C’est pourquoi la possibilité de fabriquer un monument n’est pas réservée aux inhumations. Après la crémation, l’urne funéraire contenant les cendres peut elle aussi être intégrée à un monument cinéraire où l’on peut installer une plaque d’identification et même des fleurs.

Aux différentes étapes administratives liées directement aux formalités administratives s’ajoutent celles qui vous sont plus personnelles ainsi que celles qui concernent les affaires courantes de la vie de proche décédé. Elles ne sont pas négligeables car ne pas les accomplir vous causerait plus de difficultés à l’avenir que ce qu’il vous en coûtera directement. Notre expertise vous sera utile également dans ces démarches.

 

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